Chapitre 30

 

-----/ The AR-PI-A is 4 every 1 /----- 

 Voilà, si vous êtes rendu ici, c'est que vous avez terminé de lire ce roman. Ce qui est, en soit, une bonne chose parce que nous, ici, nous nous demandions qui serait assez cinglé pour passer à travers cette lecture insignifiante sans broncher. Non, ne soyez pas frustré de constater que vous êtes aussi cinglé que nous, cela démontre seulement que nous sommes une bande à part et qu'on aime déconner de temps à autre. 

Merci tout de même de nous avoir lu. 

Un merci tout particulier à Daniel qui a participé à l'écriture du roman ainsi qu'à Marcelle qui a aussi corrigé les fautes d'orthographes et qui a su bien tourner les phrases avec son expertise en syntaxe.  

( note de l'auteur: Une minute là! Est-ce que je vous ai dit que c'était terminé?)

( note de l'éditeur: Non mais avouez que ça commençait à tourner en rond c't'histoire.)

( note de l'auteur: Quand même, j'aurais aimé faire une sortie plus sympathique.)

( note de l'éditeur: Bon, ok, allez avec une dernière sortie...)

Sherlock: Parfois, le matin, je me regarde dans le miroir et je vois un homme meurtri, vieilli, détruit par la vie, je ressemble à une momie.

Watson: Comme ce matin où vous donniez l'impression d'être Toutankhamon qui a égaré son bandage?

Sherlock: Pas exactement, pas aussi cru, par Dieu! 

Watson: Vous savez Sherlock, ça me rappelle ce moment avec ma douce où nous étions encore au lit, un de ces matins de juillet où elle s'était éraflé le mollet sur mon ongle du gros orteil.  Chialant sur le fait que je ne me coupe pas les ongles quand ils sont trop longs, je lui avais dit gentiment "ma chérie (pause littéraire), j'aime ça marcher pieds nus sur le linoleum aspect béton ciré, entendre quand j'avance que ça fait "clic-clic".

Sherlock: Élémentaire cher Watson! Poétiquement élémentaire!

Watson: Bonne nuit Sherlock! Reposez-vous bien. Demain l'RPA nous ouvre ses portes. 

Sherlock: Bonne nuit mon cher ami! Demain est un autre jour mais je crains le pire. 

Sur ces paroles des plus rassurantes, ceci clôt ce roman définitivement. 

Bonne route à tous!

Cordialement,

Vill C. Brequain (Alias: D et M.)

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